DESCRIPTION.
Dans un petit village, en Ardenne, une ancienne ferme forme le cœur discret d’un hameau rural.
BEGA y imagine une transformation sobre, respectueuse, mais ambitieuse :
révéler le potentiel habité du lieu sans l'effacer.
Faire cohabiter mémoire, densité douce et qualité d’usage.
Un projet de logements qui travaille les seuils, la cour, les vides.
Un habitat partagé, enraciné, à échelle humaine.
ANALYSE.
Le site s’inscrit dans un tissu rural discontinu, fait de volumes agricoles, de vues lointaines et de césures fortes.
La ferme, aujourd’hui désaffectée, garde une présence marquée dans le paysage du hameau, mais souffre d’un cloisonnement interne et d’un manque de lisibilité.
Autour, peu de densité, peu d’espaces partagés, peu d’usages visibles.
L'enjeu n'est pas seulement architectural : il est territorial.
Comment faire revivre un îlot rural sans le figer ni le vider de sa logique première ?
PROPOSITION.
Revaloriser l’existant
Plutôt que démolir, le projet s’appuie sur les gabarits, les matériaux et les traces.
Chaque volume est requalifié, ouvert, adapté à l’habitat sans dissimuler sa nature agricole.
Plutôt que démolir, le projet s’appuie sur les gabarits, les matériaux et les traces.
Chaque volume est requalifié, ouvert, adapté à l’habitat sans dissimuler sa nature agricole.
Composer un habitat partagé
Les logements sont pensés autour d’une cour commune.
Les accès, les vues, les seuils sont travaillés comme des zones de rencontre.
On habite ensemble, sans se gêner.
Les logements sont pensés autour d’une cour commune.
Les accès, les vues, les seuils sont travaillés comme des zones de rencontre.
On habite ensemble, sans se gêner.
Respecter les logiques rurales
Les espaces extérieurs conservent une part de souplesse :
pas de jardins figés, mais des transitions poreuses, des usages évolutifs.
Les espaces extérieurs conservent une part de souplesse :
pas de jardins figés, mais des transitions poreuses, des usages évolutifs.
Connecter au paysage
Les percées visuelles, les ouvertures, les abords sont pensés pour garder un lien constant avec le paysage ardennais.
Le projet respire, s’oriente, s’ancre.
Les percées visuelles, les ouvertures, les abords sont pensés pour garder un lien constant avec le paysage ardennais.
Le projet respire, s’oriente, s’ancre.


